Heinlein's monumental "Future History" series continues. Two scientists develop cheap solar power-and threaten the industrial status quo. The nation's cities are linked by a system of moving roads-and a strike can bring the entire country to a halt. Workers in an experimental atomic plant crack under the mental strain. And the space frontier is opened by an unlikely hero-D. D. Harriman, a billionaire with a dream: the dream of Space for All Mankind. The method? Anything that works. Maybe, in fact, Harriman goes too far. But he will give us the stars. . .

Contents:

Preface (The Man Who Sold the Moon) • (1950)

"Let There Be Light" • [Future History] • (1950)

The Roads Must Roll • [Future History] • (1940)

The Man Who Sold the Moon • [D. D. Harriman] • (1950)

Requiem • [D. D. Harriman] • (1940)

Review

L’homme qui vendit la Lune est le premier tome de l’histoire du futur d’link:../authors/2917920.html[Heinlein Ken Liu], récement réédité, mais que j’ai récupéré dans une version plus ancienne. Cela dit, ça n’est pas si grave, parce que les différentes nouvelles qu’on y trouve sont pour la plupart exceptionnelles. Et, surtout, elles dressent un portrait sympathique, quoique parfois effrayant, d’une valeur qui est désormais complètement périmée (même si pour ma part j’y crois) : le progrès scientifique.
Ca peut paraître un peu ridicule comme ça, mais qu’il s’agisse de l’homme prédisant le temps qui reste à vivre à chacun, (Ligne de vie), ou même de l’industriel qui donne son titre à ce recueil, la plupart des personnages ont de la science une vision très positive (peut-être même les ingénieurs nucléaires) et, évidement, ce qui ne croient pas à l’intérêt du progrès, et cherchent à le dévoyer pour assouvir leurs désirs sont traités avec le mépris qu’ils méritent. Bien sûr, le texte est daté, et bien sûr, il y a parfois des relents de libéralisme sauvage. Mais j’ai pour ma part réellement apprécié de voir des gens lutter pour que l’avenir soit un peu pllus connu, et pour que la science apporte à chacun des améliorations. Que dire de plus ?
Rien, sauf peut-être qu’il vaut mieux s’amuser du passage sur les grévistes des routes plutôt que de le calquer sur une réalité un peu trop grotesque