31 juillet 2015
source
Le Grand Vaisseau, aussi vaste que Jupiter, a longtemps voyage autour de notre galaxie, abritant dans ses flancs immenses des milliards d'etres vivants qui cohabitaient harmonieusement sous la ferule de milliers de capitaines quasi immortels. Mais cette epoque est desormais revolue. Apres avoir survecu in extremis a la revolte d'une partie de ses passagers, l'immense carcasse a change de direction et cherche a panser ses plaies. Elle fonce desormais vers une gigantesque region de l'espace ou les etoiles sont si rares que le ciel est aussi sombre que de l'encre. C'est un voyage sans retour. Pendant que les capitaines s'efforcent de reparer la coque, le navire s'enfonce peu a peu dans la noirceur. La, dans ce vide etrange, se cache la plus grande menace que le Vaisseau ait jamais affrontee. Car la vie peut prendre des formes inattendues, et l'entite mysterieuse qui veille au fond du puits a appris a etre patiente.
Authors
Series
Review
Ce roman est la suite de le grand vaisseau. Et si dans le premier tome le big dumb object était le vaisseau lui-même, il s'agit cette fois-ci d'une nébuleuse ... Et je ne vois pas comment on peut faire plus énorme comme objet bizarre.
Il y a donc des trous noirs par milliers, des créatures encore plus étranges que dans les tomes précédents, des humains quasi-immortels aux pouvoirs quasi-divins, et tant d'autres choses superlatives.
Je trouve étonnant que chacun des tomes de cette histoire arrive à m'étonner à ce point, alors que la nature hyperbolique de ces histoires devrait me lasser. Mais pourtant, non : je reste ébahi comme un gamin par le gigantisme des choses.
Et j'en veux encore !
Il y a donc des trous noirs par milliers, des créatures encore plus étranges que dans les tomes précédents, des humains quasi-immortels aux pouvoirs quasi-divins, et tant d'autres choses superlatives.
Je trouve étonnant que chacun des tomes de cette histoire arrive à m'étonner à ce point, alors que la nature hyperbolique de ces histoires devrait me lasser. Mais pourtant, non : je reste ébahi comme un gamin par le gigantisme des choses.
Et j'en veux encore !