26 avril 2011
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La réalité virtuelle s'est étendue à toute la vie sociale ; elle n'a plus d'autres frontières que les limites de l'imagination de chacun.
Une liberté absolue grâce à deux générations de brillants cerveaux et à des investissements fabuleux ! Mais aussi un contrôle absolu des individus par les hommes qui détiennent le pouvoir, unis dans la machiavélique Confrérie du Graal. Une utopie totalitaire. Une effroyable conspiration, fomentée par les hommes les plus puissants de la planète, menace cet univers trop lisse où tous les rêves se réalisent.
En apparence. Rares sont ceux qui ont compris cette machination diabolique. Plus rares encore ceux qui sont prêts à lui livrer bataille : une enseignante, un bushman, un amnésique, un ado et un vieillard se lancent à la poursuite d'une mystérieuse cité d'or...
Une liberté absolue grâce à deux générations de brillants cerveaux et à des investissements fabuleux ! Mais aussi un contrôle absolu des individus par les hommes qui détiennent le pouvoir, unis dans la machiavélique Confrérie du Graal. Une utopie totalitaire. Une effroyable conspiration, fomentée par les hommes les plus puissants de la planète, menace cet univers trop lisse où tous les rêves se réalisent.
En apparence. Rares sont ceux qui ont compris cette machination diabolique. Plus rares encore ceux qui sont prêts à lui livrer bataille : une enseignante, un bushman, un amnésique, un ado et un vieillard se lancent à la poursuite d'une mystérieuse cité d'or...
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Review
Oh bon sang.
C'est pas tous les jours que je suis déçu à ce point.
Peut-être qu'il s'agit simplement d'une overdose.
Ou peut-être que ce roman est juste une bouse infecte et surgonflée.
Je veux, dire, 650 pages juste pour introduire les personnages et la situation, j'ai l'impression que c'est un peu trop, non ?
Je sais bien que l'auteur avait fait la même chose dans l'arcane des épées, mais là,f ranchement, ça fait trop. Pour donner un exemple, on suit pendant tout ce volume une prof de virtualité dans la banlieue de Durban dont le père est alcoolique, dont le frère tombe malade à cause du réseau, et qui perd son boulot à la fin. Et franchement, je sais pas vous, mais moi, ses tribulations, je m'en foutais comme de l'an quarante. Et comme les personnages sont tous du même accabit, au bout d'un moment, j'en ai eu marre.
Heureusement, à force de persévérance, j'ai fini ce bouquin.
Mais une chose est sûre, je ne lirai certainement pas le suivant, parce que là, j'ai l'impression de lire le même roman depuis dix ans au moins.
C'est pas tous les jours que je suis déçu à ce point.
Peut-être qu'il s'agit simplement d'une overdose.
Ou peut-être que ce roman est juste une bouse infecte et surgonflée.
Je veux, dire, 650 pages juste pour introduire les personnages et la situation, j'ai l'impression que c'est un peu trop, non ?
Je sais bien que l'auteur avait fait la même chose dans l'arcane des épées, mais là,f ranchement, ça fait trop. Pour donner un exemple, on suit pendant tout ce volume une prof de virtualité dans la banlieue de Durban dont le père est alcoolique, dont le frère tombe malade à cause du réseau, et qui perd son boulot à la fin. Et franchement, je sais pas vous, mais moi, ses tribulations, je m'en foutais comme de l'an quarante. Et comme les personnages sont tous du même accabit, au bout d'un moment, j'en ai eu marre.
Heureusement, à force de persévérance, j'ai fini ce bouquin.
Mais une chose est sûre, je ne lirai certainement pas le suivant, parce que là, j'ai l'impression de lire le même roman depuis dix ans au moins.