03 juillet 2017
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Pour survivre à la famine qui sévit, Ivar, Kaya et Oswald n'ont pas d'autre choix que de braconner. Mais le Jarl, le maître des terres, les surprend. Dans l'échauffourée qui s'ensuit, il tombe de la falaise et perd ses deux jambes. Ivre de vengeance, il lance ses Walkyries à leur poursuite. Arrêtés, jugés, les trois pauvres hères ne doivent leur survie qu'à la cruauté du Jarl : il les condamne à se transformer en monstres, à devenir trois de ses fidèles berzerkirs.
Il leur reste sept jours d'humanité. Sept jours pour trouver le roi des fauves, le seul à pouvoir les arracher à leur funeste destin.
Il leur reste sept jours d'humanité. Sept jours pour trouver le roi des fauves, le seul à pouvoir les arracher à leur funeste destin.
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Review
Dans ce roman, on suit les pas de trois jeunes gens, accusés de braconnage, et qui se retrouvent très sévèrement punis. Soyons clairs, l'accusation est juste, et la punition aussi moyen-âgeuse que brutale. Cependant, cette punition apparaît également comme une transformation, qui va les emmener dans des territoires qu'ils n'auraient sans doute pas voulu arpenter, et qui les fera découvrir des vérités sur-eux-mêmes qu'ils auraient dû ignorer. Et surtout, cette aventure donnera à leur meneur un pouvoir bien plus grand.
Ce roman est absolument déprimant : le monde est froid, les gens meurent de faim, les personnages sen dehors des principaaux sont laids et mauvais, et même les principaux ne sont pas sans faille. En effet, le personnage principal est plutôt mou, et aussi hésitant que la limace de l'assassin royal, son amie est au contraire téméraire et pas forcément très charitable, et le dernier personnage du trio est lâche, bougon et d'un pessimisme sans faille. Du coup, il est assez difficile de s'attacher à eux.
Heureusement, l'histoire vient sauver ces personnages en leur offrant à la fois la rédemption, et des scènes parfaitement spectaculaires et brutales. Qui plus est, la conclusion de ce récit,nihiliste et violente, est une agréable diversion face à tous ces happy ends pénibles.
C'est donc une assez agréable lecture, qui pose quelques questions intéressantes sur ce que peut représenter le fait de devenir adulte. Pas forcément tous public, mais néanmoins intéressant.
Ce roman est absolument déprimant : le monde est froid, les gens meurent de faim, les personnages sen dehors des principaaux sont laids et mauvais, et même les principaux ne sont pas sans faille. En effet, le personnage principal est plutôt mou, et aussi hésitant que la limace de l'assassin royal, son amie est au contraire téméraire et pas forcément très charitable, et le dernier personnage du trio est lâche, bougon et d'un pessimisme sans faille. Du coup, il est assez difficile de s'attacher à eux.
Heureusement, l'histoire vient sauver ces personnages en leur offrant à la fois la rédemption, et des scènes parfaitement spectaculaires et brutales. Qui plus est, la conclusion de ce récit,nihiliste et violente, est une agréable diversion face à tous ces happy ends pénibles.
C'est donc une assez agréable lecture, qui pose quelques questions intéressantes sur ce que peut représenter le fait de devenir adulte. Pas forcément tous public, mais néanmoins intéressant.