15 avril 2009
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Accompagnée de Meribal, Podrick et Ser Hyle, lady Brienne poursuit la quête dont l'a charge Jaime Lannister : retrouver Sansa Stark. Celle-ci se cache au Val d'Arryne, sous le nom d'Alayne Stone, bâtarde de lord Petyr Baelish. Quant à Cersei Lannister, elle tente de maintenir en un seul morceau l'Empire laissé par lord Tiwyn, son père.
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Review
Avec ce douzième tome (déja ?), on voit enfin la conclusion d'un des tomes originaux de J.K. Rowling. Du coup, logiquement, l'action se précipite pour certains : Cersei et Jaime ou Brienne (même si, comme le dit l'auteur dans une post-face très intéressante, quelques personnages n'ont pas pu être traités - dommage, Jon, Tirion et Daenerys sont mes préférés, et on ne les as pas vu). Brienne, par exemple, voit enfin se conclure sa quête , même si c'est d'une manière totallement inattendue pour moi (mais, il faut bien le reconnaître, tellement dans les manières de J.K. Rowling). Et Cersei voit elle arriver ses terribles machinations à leur terme le plus logique.
Toutefois, le personnage dont l'évolution est la plus intéressante est indiscutablement Jaime Lannister, qui m'a donné l'impression en particulier dans ce tome d'essayer de réparer les erreurs du passé, quoique la manière qu'il choisit pour cela est assez ... curieuse (je pense par exemple à cette histoire de trébuchet ....).
En fait, l'un des éléments les plus intriguants pour moi est la capacité de l'auteur à renouveler sans cesse son monde : il y a quelques milliers de pages, les sept couronnes constituaient un royaume uni derrière un roi on ne peut plus royal, et les querelles se résolvaient sous l'égide de sa main. Après quelques années de guerre, il n'y a plus de royaume, et les querelles ont été éteintes, pour la plupart noyées sous le sang des querelleurs. On pourrait croire que l'hémorragie de personnages aurait coupé les moyens de l'auteur, mais il n'en est rien. Il lui reste encore assez de profondeur pour alimenter les tomes à venir, ce dont je me réjouis.
C'est aussi la profondeur de son monde qui fait que je me réjouis bien entendu de cette lecture de qualité, même si, comme je le disais plus haut, le tiercé de tête de mes personnages préférés ne figurait pas dans ce tome.
Toutefois, le personnage dont l'évolution est la plus intéressante est indiscutablement Jaime Lannister, qui m'a donné l'impression en particulier dans ce tome d'essayer de réparer les erreurs du passé, quoique la manière qu'il choisit pour cela est assez ... curieuse (je pense par exemple à cette histoire de trébuchet ....).
En fait, l'un des éléments les plus intriguants pour moi est la capacité de l'auteur à renouveler sans cesse son monde : il y a quelques milliers de pages, les sept couronnes constituaient un royaume uni derrière un roi on ne peut plus royal, et les querelles se résolvaient sous l'égide de sa main. Après quelques années de guerre, il n'y a plus de royaume, et les querelles ont été éteintes, pour la plupart noyées sous le sang des querelleurs. On pourrait croire que l'hémorragie de personnages aurait coupé les moyens de l'auteur, mais il n'en est rien. Il lui reste encore assez de profondeur pour alimenter les tomes à venir, ce dont je me réjouis.
C'est aussi la profondeur de son monde qui fait que je me réjouis bien entendu de cette lecture de qualité, même si, comme je le disais plus haut, le tiercé de tête de mes personnages préférés ne figurait pas dans ce tome.