Introducing Conan - heroic fantasy's mightiest adventurer from the wilds of Cimmeria

Thief, pirate, mercenary, warrior and general, he stands invincible - even when the full forces of the supernatural are unleashed against him.

Set in the imaginary Hyborian age between the sinking of Atlantis and the beginnings of recorded history, these four stories of the exploits of this larger-than-life hero are the ultimate in tales of swashbuckling adventure:

* The People of the Black Circle
* The Slithering Shadow
* The Pool of the Black One
* Drums of Tombalku


The Conan stories... are unsurpassed for vivid, colourful, headlong, gripping action - L.Sprague de Camp

Cover Illustration: Frank Frazetta

Review

Ah, Conan, le seul vrai héros de l’heroic fansay, un genre à lui tout seul ! Abandonnez toutes vos tentatives pour me faire changer d’avis, je suis un fan du cimmérien, et en tant que tel, je suis toujours à la recherche d’un nouveau tome des aventures du barbare.
Je suis donc tombé récement (mais sans me faire mal, grâce à ma souplesse féline que m’envient nombre de compagnons à quatre pattes) sur Conan l’aventurier en poche, du toujours aussi regretté 947. Et il n’y a pas à s’y méprendre, Conan reste toujours le plus fort. Même si les nouvelles (qui ne forment pas une mosaïque, non non non) sont bâties sur un schéma archiclassique : Conan va se faire une fille, affronter des horreurs qui ne sont pas de ce monde, et repartir les mains dans les poches, éventuellement pourchassé par une horde de sauvages, on lira avec profit ce recueil, dans lequel se trouve une des nouvelles qui inspira Oliver Stone pour le scénario de Conan le barbare (le film) dans sa description des pouvoirs de Tulsa Doom. Bon, j’essayerais bien de vous convaincre de l’intérêt de lire Conan, mais je vois vos regards horrifés par ces choses que l’homme ne peut comprendre, et donc je vous laisse à vos activités de civilisés décadents pour m’en aller piller, violler et tuer dans la joie, aux côtés du plus grand des aventuriers.