Ames sensibles... Voire même âmes tout court... S'abstenir.
En effet, ce roman parle de vampires. Pas avec subtilité, comme Dracula. Pas non plus avec imagination, comme dans
Anno Dracula. Plutôt avec la concupiscence, la complaisance de l'échiquier du mal (et de ma part, ça n'est vraiment pas un compliment).
Et encore, en disant ça, je fais dans la litote, parce qu'on est là dans le livre d'horreur le plus pur, avec ce que ça peut impliquer de malsain, de grand-guignol, mais aussi de cliché :des vampires trop forts, une jeune fille dépressive et victime d'inceste, des amants maudits. Et la mort, à chaque page ou presque. Parfois accompagnée d'actes sexuels, ou presque. Mais en tout cas, la mort, toujours.
Pas mon style de livre, en tout cas.