Présentation de l'éditeur
Honor est de nouveau dans la tourmente : les chroniqueurs mondains s'en donnent à coeur joie quand elle est aperçue dans une clinique d'assistance à la reproduction, et sa vie privée se complique encore - si c'est possible ! La guerre a repris. Certains jubilent qu'elle s'éternise. Or Manticore est en très mauvaise posture face à la République de Havre et, à en croire les projections d'effectifs, ce n'est pas près de changer. Honor est donc appelée à prendre la tête de la Huitième Force pour une série de petits raids offensifs destinés à pousser l'ennemi à redéployer ses unités. Mais le remède pourrait bien être pire que le mal et, dans l'effroyable bataille qui s'annonce, quel que soit le vainqueur, la victoire aura un goût amer

Authors

Review

Apparement, l'usure du temps fait même souffrir les sagas de space-opera ... C'est en tout cas ce que je ressens face à ce n-ième tome des aventures de l'amiral Harrington.
En effet, on y retrouve des poncifs maintenant éculés, comme par exemple le progrès de l'armement entre Manticore et Havre (qui, je trouve,n résistent de moins en moins bien à la comparaison avec le rest de la SF spatiale, qu'elle soit guerrière ou non). Ou comme les alternoiements d'Harrington face à la nécessité qu'elle a d'ôter la vie à des centaines de "méchants" havriens pour faire régner l'ordre manticorien dans l'espace.
Bon, ajoutez à ça ses relations plutôt plus simples avec Havre-Blanc, et vous aurez un tableau assez flou, mais néanmoins précis dans l'ensemble de ce que ces je-ne-sais-pas combien de pages contienent.
Par conséquent, je l'annonce ici, ce tome est le dernier que je lis de ce Honorverse réellement trop penché sur l'auto-appitoiement.