Quand j’ai entendu ça ce matin à la radio, je me suis douté que c’était plus compliqué qu’un simple "le photographe a changé d’avis". Ce dont je ne me doutais pas, c’est que, encore une fois, une association méprise la loi au motif qu’elle agit pour le bien public (lire à la place d’un état manifestement défaillant). Parce que bon, quand Les restos du coeur utilisent cette photo comme composante de leur image de marque, on n’est plus du tout dans le social, on est dans le plus pur marketting. Surtout que le photographe explique bien que ce qui le gêne, c’est l’utilisation par des entreprises commerciales de sa photo.