06 décembre 2013
sourceLà, je suis proprement subjugué : est-ce que je peux regarder un pénis sans le trouver écoeurant ? J’ai du mal. En fait, quand je regarde ces photos, la seule chose qui me vient à l’esprit, c’est que, décidément, je n’aime pas voir cette saucisse knacki là où je n’aimerai voir qu’un mystère féminin. Voilà, ça, je peux le dire. Ce que je peux aussi dire,c 'est que la variété des angles est proprement stupéfiante.