Le point inquiétant n’est pas seulement le fait que cette géolocalisation soit possible pour tous les suspects (ce qui, dans une affaire policière, veut dire tout le monde, victime compris - désolé, mais comme dit House, tout le monde ment). C’est aussi le fait qu’un officier de police judiciaire puisse également, "en cas d’urgence", demander la géolocalisation comme ça, en se justifiant dans les 24 H auprès du procureur. Ca revient à dire qu’il n’y a absolument pas de contrôle à priori. Et là vraiment, je trouve ça limite. Le bonus étant évidement que, si je me lance dans le crime, je me débarasserai en premier des dispositifs électroniques. Parce que, comme dit plus, haut, je regarde la télé, et je sais bien que le vrai criminel doit tout faire en liquide, et avec des téléphones jetables. via http://sebsauvage.net/links/?yRw-\_A