Cigany is the gypsy, stalking the city in a cloud of magic.



Stepovich is the seasoned cop, who keeps finding dead bodies in the gypsy's wake.

The Fair Lady is Queen of the Underworld, drawing them both into her murderous web...until only the gypsy's broken memories stand between Stepovich's beloved city and the Lady's dark designs.

Part crime novel, part magic, Steven Brust and Megan Lindholm's The Gypsy is a powerful and memorable fantasy (Publishers Weekly).

Review

Dans ce roman, on suit différents personnages qui, depuis une petite ville américaine bien typique, vont tenter de sauver notre moooonde. Comme je l’ai déja écrit, le début de ce roman, trop confus, trop onirique, trop morcelé, a failli avoir raison de ma motivation.

Et pourtant, en termes de lecture, je suis pour le moins obstiné. Je me suis donc accroché. Coup de bol pour moi, la suite est un peu meilleure que le début. Ca reste confus, difficile à suivre, mais c’est un peu plus clair que les cinquante premières pages qu’on pourrait placer dans le panthéon des pages les plus imbitables.

Donc, c’est un roman difficile à suivre. Malheureusement, c’est tout ce que j’ai pu en retenir. Pas d’intrigue bien ficelée (encore que …), pas de grandes envolées lyriques. Juste un peu de musique, pas mal de fantastique, une bande de gitans. Et hélas, ça ne suffit pas à sauver ce bouquin du titre de truc minable, qui ne valait même pas la peine d’être emprunté à la bibliothèque.

Donc, si vous devez lire un truc, reprenez plutôt une tranche de Kirinyaga que cette chose à peine digne d’être lue.