Dark Meat City est en proie à des émeutes grandissantes, qui s’apparentent de plus en plus à une guerre civile : la répression de la section Z-7 est si féroce que les pires gangs de la ville et les citoyens rebelles se réunissent sous une couleur commune et rassemblante : le vert. Alors que la ville est le théâtre de violentes batailles rangées, Angelino, Vinz et Willy, enfin réunis et toujours aussi losers, décident de retourner à Povera Height, le quartier de Willy, qui prétend posséder une grosse somme d’argent cachée sous le plancher du taudis qui lui sert de maison. Mais c’est sans compter l’invasion Macho, qui va transformer Dark Meat City en un brasier infernal dont nul ne semble pouvoir réchapper... dévoilant au passage de terrifiantes aptitudes chez Angelino !

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Au secours.
Non mais AU SECOURS !
Relire ce tome après les trois premiers, c'est un peu comme emmerder un catcheur mexicain : une fois qu'il est chaud, tout, TOUT peut arriver.
Dans ce tome, on peut donc croiser les 4 cavaliers de l'apocalypse de Dürher (je peux vous le dire, c'est impossible à comprendre plus de cinq pages avant la gravure), de vraies soucoupes volantes, des mutations de plus en plus curieuses du jeune Angelino, et des gangstas dans tous les sens,d es gangstas en feu, des gangstas qui remettent de l'ordre, des gangstass qui font alliance avec l'armée. Ca vous suffit ? Ben moi, une fois que j'ai lu ces quatre tomes, oui. Je sais plus où j'en suis, j'ai l'impression de croiser des gens dont les ombres s'ornent de pointes, je me balade partout avec mon extincteur à neige carbonique et mon katana, bref je flippe. Je flippe comme Angelino qui, lui, n'a vraimentt pas la belle vie.
Et franchement, le voir en baver comme un escargot sur une lame de rasoir, ça fait plaisir.
Chapeau donc à Run dont le talent doit être au moins égal à la déviance mentale (et à mon avis il est loin sur le côté cinglé de la route).