Une réflexion très conceptuelle, mais aussi très intéressante, sur le design en général. Et ça s’applique bien au design logiciel (spécialement parce que l’autrice semble travailler dans le domaine)


Sacrément bonne idée. Parce que les crétins qui pensent que réveiller les gens 2 Km à la ronde à la moindre accélération est cool, ça a tendance à vraiment m’énerver.



Allez-y, passez au cloud …​ Et à un moment vous allez vraiment en baver. Parce que les défauts pointés dans cet article ne sont pas vraiment anodins, je trouve



Dalibo *offre\* ses supports de formation PostgreSQL. Et ils sont d’une qualité impressionnante ! J’aimerais bien savoir comment ils sont produits …​


Il y a dans cet article un ou deux points très intéressants. Et en y réfléchissant bien, je comprend l’intérêt d’avoir des données réplicables facilement (façon ZooKeeper/Consul/Whatever) protégées par de la crypto. Mais le terme blockchain commence à avoir une connotation désagréablement libertarienne



Un préprocesseur transformant un sous-ensemble de Python en code CUDA pour faire des calculs lourds sur du GPU. l’idée est intéressante.



Tiens, Sebsauvage a changé de voiture pour reprendre du GPL (Bien, je fais pareil). Les deux différences, c’est que (1) j’ai un Duster (2) j’ai pris l’installation GPL de Borel, parce que le réservoir de 30 L, ça fait petit, je trouve.








Une api open-source et semble-t-il orientée vers la facilité d’utilisation pour faire de la reconnaissance de mouvements. Ca a l’air très chouette.


Paul Atréides a triomphé de ses ennemis. En douze ans de guerre sainte, ses Fremen ont conquis l'univers. Il est devenu l'empereur Muad'hib. Presque un Dieu, puisqu'il voit l'avenir. Ses ennemis, il les connaît. Il sait quand et comment ils frapperont. Ils vont essayer de lui reprendre l'épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir. Il peut déjouer leurs plans. Mais il voit plus loin encore. Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre. Il est hanté par la vision de sa propre mort. Et s'il n'avait le choix qu'entre plusieurs suicides ? Et s'il ruinait son œuvre en matant ses ennemis ? Peut-être n'y a-t-il pour le prescient pas d'autre liberté que celle du sacrifice...

Authors

Review

Si dune raconte comment Paul Atreides réussit à transformer le piège Harkonnen en lieu de pouvoir, ce roman nous montre comment le même personnage essaye de ne pas apparaître uniquement comme un tyran en esquivant cette fois le piège du jihad. J'ai trouvé le roman plus faible, sans doute parce qu'il perd en unité. En effet, il y a plusieurs axes qui traversent le roman (le complot, les visions, la vie de famille), tous égaux en importance, et donc ne permettant pas de construire une progression claire du récit. De ce fait, la scène clé de l'aveuglement de Paul qui en fait un authentique voyant tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. De la même manière, les aphorismes et autres citations qui tentent de pousser l'oeuvre plus haut tombent souvent à plat, alors que dans Dune ces citations de tête de chapitre apportaient souvent quelque chose.
Autrement dit, c'est une oeuvre inférieure. Malgré tout, à la relecture, la compréhension du fait que Paul est un tyran plus meurtrier que Hitler ou Genghis Khan m'a paru franchement terrifiante.
Donc, si vous pensez que vous devez lire chaque tome de Dune, lisez ce roman. Sinon, je pense que c'est vraiment moins bien.

Review

Dernière aventure d'Erekose, et donc du champion éternel, celle-ci le fait en quelque sorte passer à l'âge adulte, puissions obtient la clé de la victoire en se rappelant son humanité, et non sa force héroïque. Par ailleurs, Moorcock est vraiment un incroyable créateur de mondes.

Review

Ce livre compile les articles écrits par Maïa Mazaurette pour le journal Le Monde ces dernières années. Comme c'est écrit pour un journal généraliste, les sujets sont abordés pour des gens qui ne sont pas forcément à l'aise avec tout ce que peut inclure ce sujet. On y parlera donc des multiples formes et sujets de désirs, des différentes pratiques, de ce que le sexe dit de la société (et clairement, il en dit beaucoup).
Avant toute chose, il y a un truc un peu gênant sur le plan de la forme : les articles font tous à peu près la même longueur. Et je trouve dommage que l'éditeur ait choisi une taille de police qui fait que chaque article se termine en haut d'une page, laissant de grands espaces vides.
Evidement, en tant que vieux lecteur des oeuvres de cette autrice, la plupart des thèmes, mais aussi le ton, me sont familiers. Et si certains des thèmes se retrouvent dans Sortir du trou, lever la tête (le sexisme, mais aussi le consentement, ou les pratiques faussement subversives de la galaxie BDSM), d'autres m'ont semblé plus inédits. Je pense en particulier à la réflexion sur le pénétrant/pénétré, l'actif/passif. Tout ça est très chouette, et en un sens, le fait que ce soit une compilation d'articles implique des répétitions, quand les sujets se recoupent, ce qui est souvent le cas. C'est parfois utile, parfois un peu lourd. Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé que ça servait le propos.
Et je dois dire qu'en tant qu'homme hétérosexuel, ça m'a fait réfléchir, ce qui est précisément l'objectif d'un tel essai, non ?
Autrement dit, c'est une lecture intéressante, et assez facile, qui permettra de rentrer dans l'oeuvre de Maïa Mazaurette confortablement.

The second novel in the History of John Daker, The Eternal Champion. Phoenix in Obsidian aka The Silver Warriors.

Review

Sur une terre mourante, Erekose participe à une guerre, une de plus, durant laquelle il reprend l'épée notre. Son destin est évidemment cruel, tragique. Et ce monde à l'agonie cadre bien avec l'état d'esprit particulièrement pessimiste du champion éternel. Pour la part, je me délecte de ses états d'âme, sans doute parce qu'ils sont portés par un destin bien tragique : être baloté dans les multiples mondes parallèles pour, à chaque fois, s'y battre et gagner en abandonnant ses principes.

« Nous avons besoin de toi. Les Chiens du Mal règnent sur un tiers du monde et la race humaine est épuisée de leur faire la guerre. Viens, Erekosë. Conduis-nous à la victoire. Des Plaines de Glace Fondante aux Montagnes de la Douleur, ils ont planté leur étendard corrompu, et ils arrivent !
– Je ne peux pas venir. Je suis enchaîné dans l'Espace et le Temps. Un gouffre nous sépare...
– Père, ceci n'est qu'une tombe vide. Même la momie a disparu. Rentrons à Necranal et rassemblons les vivants.
– Songe aux serments passés. Tu as juré de revenir, s'il le fallait, pour trancher les querelles des hommes. Lève-toi, Erekosë. Tu es le ravageur, le Saigneur, l'Enragé. Les cavaliers de la mort t'attendent. Prends leur tête et galope ! galope ! galope ! »
Je devins lourd et titubai. La force me parcourut. J'étais devant eux en chair et en os. J'étais leur dieu et j'étais revenu.

Comme Elric et Hawkmoon, Erekosë est une figure du Champion Eternel qui hante les romans de Moorcock. A quoi bon la haine, à quoi bon la guerre ? Le combattant sait bien qu'il tiendra l'épée jusqu'à la fin des temps. Puis les temps recommenceront et il tiendra l'épée encore, jusqu'au vertige.

Series

Review

Le premier tome des aventures d'Erekose le montre déjà tel qu'il est toujours : la seule incarnation du chemin éternel à connaître, à défaut d'accepter, son terrible destin de guerrier qui va dans cette histoire combattre pour et contre l'humanité. Même si le personnage central nous inflige sa vie intérieure à base de "mais pourquoi ai-je ce destin", la force de Moorcock est de réussir à rendre ça agréable. Quel talent à cet auteur, c'est fou !

Review

Le prototype du récit d'exploration de big dumb object. Tour y est, et plus encore : des décors incroyables, de la science intrigante, des extra-terrestres dérangeants, des relations sociales... curieuses. La seule chose qui me semble datée est à différence d'âge aberrante entre homme et femme, ainsi que la répartition des compétences. L'homme est quasiment un explorateur professionnel, la femme est chanceuse.
Et si la construction de cette exploration est vraiment bien pensée, avec les explications détaillées du marionettiste, j'ai trouvé la visite de cet anneau-monde un peu creuse : certes l'anneau est immense, mais il me semble essentiellement vide : quelques villes plus ou moins en ruine, des paysages naturels à peine décrits, j'ai trouvé ça un peu inférieur.
Et surtout, la sortie de cet anneau-monde repose sur une astuce typique des nouvelles de SF à chute. Et personnellement, si il y a bien un gminick de la SF qui me pèse, c'est celui de l'oeuvre construite autour de l'idée d'une astuce finale de l'auteur qui vous retourne la tête. Je préfère une conclusion plus ... "naturaliste".
Bref, pour conclure en me répétant, c'est le prototype du livre de big dumb object, avec les bonnes idées déja mises en place, mais aussi quelques défauts que les successeurs ont réglé.

Pure synchronicté : j’ai présenté il y a deux semaines une conférence - pas mal improvisée - expliquant comment la compatibilité expliquait la structure du marché informatique en France. Et je trouve que c’est aussi le sujet de ce très intéressant article.



Donc à la compilation, cette macro va vérifier que l’issue github est toujours ouverte. Comme ça, quand l’issue est fermée, le compilateur vous prévient. C’est vraiment chouette !




Review

Ce roman raconte comment Mary Knox revient sur Terre avec l'aide de son mari ... Plus en détail (et croyez-moi, des détails, il y en aura), Mary Knox se réveille amnésique dans un vaisseau sans équipage, lequel sera trouvé mort plus tard. Au fur et à mesure du roman, elle découvrira qu'elle est enceinte, qu'elle a demandé le divorce avec son mari juste après avoir couché avec lui, et également après avoir couché avec son ancien amant (ce qui fait qu'elle ne sait pas qui est e père de cet enfant, bien sûr). Elle conduira donc son vaisseau, accompagnée de l'IA capable de gérer complètement ce vaisseau, en orbite autour de mars où elle sera rapatriée sur le vaisseau de son ancien amant, qui mourra pendant la manoeuvre.
Résumé comme ça, ça a l'air mauvais, non ? A titre personnel, j'ai effectivement le roman terriblement mauvais. Ca n'est pas forcément mal écrit. Mais les personnages sont incohérents : dans la mythologie de la NASA, quelqu'un capable de piloter un vaisseau à destination d'Europe est quelqu'un de très stable émotionnellement, et peu de choses dans son comportement m'ont parues stables. Dans le même ordre d'idée, l'amant de cette astronaute est un sociopathe multimilliardaire qui se trouve être à la tête d'une entreprise tendance GAFAM qui se lance dans le voyage interplanétaire et dispose évidement d'un vaisseau spatial prêt à partir. Je vous passe le méchant chef de la NASA, qui est totalement incohérent.
Bref, les personnages sont incohérents, et le scénario est truffé d'incohérence. La pire de toute étant ce rendez-vous orbital autour de Mars qui se passe dans la haute atmosphère martienne. L'orbite, c'est grand. Alors pourquoi construire cet espèce de suspense bancal à base de passage de vaisseaux dans l’atmosphère ? Mis à part parce que l'auteur ne sait pas de quoi il s'agit ?
Franchement, c'était navrant.



Un site reprenant quelques échecs fameux pour en faire des jouets rigolos


Une critique du SQL qui mérite d’être lue, parce qu’elle semble écrite par quelqu’un qui connaît bien les problèmes créés par ce langage (pas comme moi)


Les statistiques de vaccination *effectives\* fournies par Doctolib sont très intéressantes d’un point de vue épidémiologique. Et confirment que j’ai bien fait de commencer mon parcours vaccinal il y a deux semaines 🤣


Une façon très amusante de monitorer des services cron. C’est le genre de trucs que j’aimerais voir en open-source


Vous savez que depuis des années, j'essaye de maintenir à peu près à jour un lifestream chez free, à partir de mes contributions sur Wordpress, Shaarli, Goodreads, ... J'ai un gros bout de code Java qui génère le site web localement (assez lentement, mais ça n'est pas grave pour l'instant). Mais jusqu'à aujourd'hui, j'avais un autre problème au moins aussi pénible : l'upload sur ftpperso.free.fr. J'utilisais WinSCP et son mode de synchronisation, mais d'une part c'était très lent, et surtout, WinSCP semble ne pas être capable de bien gérer le maintien des connexions avec free.fr. Du coup, j'avais des tonnes de déconnexions. Un truc vraiment pénible.

Je savais bien que ça venait en partie du fait que j'envoyais quelques milliers de petits fichiers, plutôt que quelques gros fichiers. Alors en réfléchissant un peu, je me suis dit que je pourrais envoyer un ZIP que je dézipperai sur le serveur. Par exemple, ce script PHP permet de dézipper localement un fichier. Malheureusement, la version de PHP disponible sur free.fr n'inclut pas le support des fichiers ZIP. Du coup je me retrouve avec des messages d'erreurs pénibles : "Your PHP version does not support unzip functionality.". Bref, ça ne marche pas.

Alors, en désespoir de cause, je me suis dit que je pouvais revenir aux fondamentaux. Le fondamental du client ftp, c'est évidement lftp. Et donc, en cherchant un peu, je suis tombé sur ces exemples de commande lftp. Et en particulier sur cette commande, qui répondait bien à mon besoin : mirror -R.

Résultat ? C'est un poil plus rapide :

lftp nicolas.delsaux@ftpperso.free.fr:/lifestream> mirror -R
Total: 141 directories, 2681 files, 0 symlinks
New: 25 files, 0 symlinks
Modified: 1487 files, 0 symlinks
123219275 bytes transferred in 7127 seconds (16.9 KiB/s)
To be removed: 399 directories, 11059 files, 0 symlinks

Evidement, 7127 secondes, ça paraît long (ça fait 1 heure, 58 minutes, 47 secondes). Bon, ça paraît long, mais au moins, ça marche (parce que les transferts avec WinSCP avaient une sale tendance à planter au bout d'une heure). Autrement dit, ça marche bien mieux !







J'ai eu la chance ces deux derniers jours d'animer une formation maven. Oui, en 2021, il y a encore des gens qui ont besoin d'être formés sur cet outil.

Pendant ces deux jours, j'ai parlé abondamment des qualités de maven.

Parce qu'il a plein de qualités, évidentes ou pas :

  • La gestion de dépendances, évidement, qui fait partie des apports fondamentaux
  • Le cycle de vie, qui augmente considérablement les chances de pouvoir faire des builds corrects
  • Mais aussi, et surtout pour moi, le côté "chiant as a service"

Parce que maven n'est pas un outil commode à tordre. Il est rempli de postulats sur la bonne manière de construire un projet. Et souvent, ces postulats rentrent en conflit avec l'envie des développeurs d'ajouter de l'intelligence dans le build. On retrouve cette discussion notamment dans cet échange sur Hacker News : l'article initial dit bien que maven est limité parce qu'il s'appuie sur des plugins sans être turing-complete, ce que disent également les commentaires.

De mon point de vue, c'est une erreur conceptuelle.

Maven, comme je l'expliquais hier, est l'un des premiers maillons de la chaîne d'intégration continue.

Et comme Kafka a réussi parce que c'est un tuyau idiot, je pense qu'une bonne chaîne d'intégration continue doit être idiote. C'est-à-dire accomplir simplement les différentes étapes amenant le code de la machine du développeur jusqu'à la production. Et pour ça, avoir un outil comme maven qui pousse les développeurs dans la direction de la simplicité est, à mon avis, une bonne idée.




Très intéressant article expliquant comment l’adoption des langages par les développeurs peuvent être conditionnés par l’outillage disponible


Le genre de sélection de langage qui ne me surprend pas (parce qu’elle expose mes biais). Je suis comme d’habitude content de trouver Rust bien avant Go 🤣


Au-delà de npm audit, ce qui est expliqué dans cet article est valable pour *tous\* les scanners de vulnérabilité. En fait, le mode de fonctionnement de ces outils est …​ mauvais, franchement mauvais.


Un compte twitter qui utilise de la reconnaissance d’image pour détecter les parlementaires belges qui n’écoutent pas ..





Je comprends la colère d’alias. Mais je pense qu’il faut distinguer l’histoire en tant que science, et l’histoire comme vecteur idéologique. Et je crois que l’histoire enseignée au moins jusqu’au collège est bien plus dans la seconde catégorie que dans la première


Un truc à ne pas oublier, c’est que l’informatique est un domaine industriel manquant d’expérience, localement (les développeurs ont rarement l’expérience suffisante) et globalement (les entreprises ne se munissent jamais d’outils de validation de ces estimations)






Une carte conceptuelle, également visible comme une présentation, présentant une réflexion sur ce qu’est le pouvoir.


Ce compte twitter est rempli de drôles d’animations de mobiles qui me font irrésistiblement penser aux recherches que je faisais étant jeune pour créer des lego mobiles.


Review

Dans ce second tome, l'auteur développe la situation mise en scène lors du premier. On y retrouve donc l'énorme blob extra-terrestre servant de centre spirituel à la ville de rosewater, les drôles d'agences pseudo gouvernementales nigeriannes poursuivant des objectifs curieux, et ces fameux télépathes alimentée par le réseau d'information extra-terrestre.
On pourrait croire au réchauffé d'un décor déjà bien utilisé, mais le changement de personnages principaux et l'évolution de l'intrigue m'ont maintenu bien éveillé, et c'est tant mieux ! Parce que l'intrigue est intelligemment menée (à défaut d'être particulièrement imaginative) et les personnages sont très correctement dépeints : ils ont des motivations crédibles, ne sont pas inhumainement supérieurs, et se débattent dans cet environnement étrange avec des moments d'incompréhension qui rajoutent encore à cette humanité. En fait (et ça me fait étrange d'écrire ça) l'aspect le plus maladroit est peut-être, à plusieurs reprises, la mention de la vie sexuelle des personnages, qui ne fait pas vraiment sens à mon goût.
Et c'est un défaut bien mineur pour une œuvre qui brasse autant de thèmes : l'altérité, la mémoire, la personnalité, tout ça est brassé avec fougue par un auteur qui sait ce qu'il veut et qui nous livre une bien bonne lecture.



Quand j’étais jeune et que j’allais aux jeudis de la SNCF, yann Minh nous parlait de ses surinterprétations d’Alien, et c’était chouette. Ce site fait le même travail de surinterprétation pour Fight Club. Et c’est …​ intéressant ET dérangeant


Des métriques de sécurité pour les projets open-source. C’est plutôt une bonne idée. j’espère juste que ça n’est pas la même farce que le scan de vulnérabilité par analyse des dépendances …​


Un livre support d’un cours sur les fondations de l’information. Ca peut être une lecture intéressante.



Je ne vais pas y aller par quatre chemins : cet émulateur implémenté dans un cluster K8s me semble une idée affreusement mauvaise. Remplacer les appels dans le CPU par des appels réseau, c’est moyen.


Un bel échantillon de la génération d’images par ces gros réseaux de neurones bizarres




Le reportage est déja pénible à regarder. mais le pire, c’est cette tronche de Blanuer qui vient dire que c’est pour protéger les filles et les garçons. Ce serait peut-être bien de faire de l’éducation, non ? Et enfin de faire oeuvre de progrès culturel.




Un article extrêmement intéressant sur le fait que le travail nécessite de la concentration ET de la communication, et que ces deux activités sont en fait incompatibles.





J’aime beaucoup cette idée de progresser en cercles, en améliorant chaque élément à petits pas, pour pouvoir progresser tranquillement.


C’est pas un peu comme le gadget des macbooks, mais à une échelle "linuxienne" (genre plus grand, plus compatible avec le reste de l’univers, mais évidement beaucoup moins utilisé)


On a donc en France des gens raisonnables, avec des postes importants, qui expliquent que ce que fait le gouvernement, c’est du totalitarisme. Et c’est aussi dramatique que c’est vrai.




Des palettes de couleur soigneusement choisies. Ca aide *bien\* les non-designers comme moi à proposer des idées intelligentes aux designers


Le corps des femmes, cet objet mortel 🙄 Pour résumer, une femme travaillant dans le domaine de l’infosec a posté une photo en bikini, et s’est fait emmerder par ses followers parce que "c’est pas pro/pas le bon corps". Bande de débiles.








Ca n’est pas le mème le plus connu, mais il est quand même assez drôle. Et l’enfer des tâches y est bien décrit



Un article sacrément intéressant sur la manière dont est présentée l’histoire de l’informatique dans les 50 dernières années. Les changements de perspective sont particulièrement fascinants.


Je ne connaissais pas ce site de visualisation du coronavirus en France. C’est basé sur les données de santé publique, et c’est fouillé, pour dire le moins …​


J’avais des intuitions sur le sujet de ce paragraphe, et ça fait plaisir de les voir "validées" par Wikipedia




Quand je dis aux gens que tous les POCs vont en prod, c’est aussi ce que je veux dire : les gens n’itèrent pas, ils ajoutent de la fonctionnalité à un soft déjà mal conçu.