Oh ben dites donc, c’est bien pratique ce petit exécutable pour pouvoir *enfin\* faire du ssh depuis mon terminal Windows en utilisant ma clé SSH fournie par …​ Keepass (et keeagent). A lancer avec un script bat du type start /b "" "wsl-ssh-pageant.exe" --wsl C:\\wsl-ssh-pageant\\ssh-agent.sock --winssh ssh-pageant --systray



Review

J'ai découvert ce livre grâce à mon entreprise, qui a invité son autrice en conférence. Intéressé par son propos, j'ai emprunté un exemplaire de son essai sur ce qui différencie un innovateur intelligent d'un opportuniste.
Et le livre explique très bien ce chemin de pensée : en partant d'une vision, et en appuyant les métriques de succès sur cette vision, l'autrice nous explique qu'on peut éviter les problèmes classiques des produits (sursensibilité aux métriques de succès, incapacité à choisir les fonctionnalités significatives, etc). De plus elle propose des moyens intéressants de lier les actions concrètes de l'entreprise à cette vision en se demandant toujours comment elles peuvent s'aligner, de façon concrète, pas simplement dans une vision platonicienne.
Et comme le livre se conclut sur un intéressant chapitre lié à l'éthique dans le développement d'un produit, ça m'a encore plus parlé. Je pense de ce fait que c'est un livre particulièrement intéressant pour tous ceux qui veulent, à travers leur production, changer le monde. Et qui ne le veut pas ?

Des éléments vous permettant de mettre en oeuvre différents outils alignant les évolutions de votre produit avec la vision que vous construisez pour celui-ci


https://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=355718083[Communauté Steam

Guide :: Using a Wii Balance Board as Pedals]

Ca a l’air pas mal cette méthode pour utiliser la wii balance boad autrement




Je trouve très amusante l’idée d’abuser un test pour en faire un générateur de code (et tout le processus de réflexion avant ça est également intéressant).


Deux très bons conseils dans cette vidéo 1. Quand quelqu’un dit qu’il ne sait pas quelque chose, c’est qu’il parle d’un autre sujet d’architecture que le sien 2. L’architecture ne doit pas être trop précise






Et tant qu’on y est, un livre sur le sujet de la programmation fonctionnelle pour les non-mathématiciens





Un article qui colle évidement avec mes opinions concernant l’explosion des divers étages d’une application


Les remerciements de Neal Stephenson pour Anathem montrent bien la quantité de science qu’il a mis dans sa fiction (et me permettent de comprendre qu’il travaillait aussi sur la science platonicienne)


Merci Nicolas de m’avoir aidé à comprendre un truc que je trouvais opaque : comment créer des builders un peu sophistiqués. Et contre, ça fait du code.


Je ne suis pas vraiment (ou plutôt vraiment pas) fan de la logique économique de Google Workspace. Mais là, pouvoir faire du markdown dans mes google docs, ça me paraît vraiment chouette.


Le concept semble intéressant. J’aimerais bien avoir l’avis de professionnels du domaine …​


Review

Dans ce second tome, Neal Stephenson continue à nous éblouir par sa connaissance de l'histoire des sciences et de la construction de nos techniques modernes.
On retrouve donc Fra Erasmas dans son tour du monde à la recherche de son ... mentor, peut-être, qu'il retrouve sur une île volcanique où ils discutent de la théorie des mondes parallèles d'Everett avant qu'il parte assister à la concentre (une réunion de ces étranges moines-scientifiques théoriciens) pour laquelle on l'avait autorisé à quitter son monastère. Celle-ci l'emmènera ensuite à travers un désert, puis dans une opération spatiale et dans un aisseau extra-terrestre, avant une conclusion ... franchement loupée.
J'ai un avis vraiment contrasté sur ce livre.
L'auteur y est éblouissant d'érudition scientifique, construit des personnages tout à fait intéressants, met en place un récit d'aventure absolument incroyable, mais loupe les choses les plus simples. Parce qu'en 1600 pages, notre narrateur, qui se fait un poil trimballer à travers le vaste monde, ne semble pas s'attacher outre mesure aux gens. Qui plus est, à part au début, on ne comprend pas trop ce qu'il fait là (mis à part parce qu'il connaît des gens, et certains éléments théoriques qui sont intéressants au début, mais insignifiants dans la conclusion). Résultat, le voyage est beau, certains moments sont réellement inspirants ou spectaculaires (comme le voyage dans l'espace), mais on a plus l'impression de regarder défiler la tapisserie de Bayeux que de voir se dérouler une histoire dans laquelle on s'impliquerait.
Et j'écris ça en reconnaissant que j'ai adoré le livre. Mais je dois bien reconnaître qu'il faut voir le roman comme un moyen de l'auteur pour s'afficher en tant que scientiste. Et je suis sans doute déçu par l'incapacité de Stephenson à m'impliquer autrement qu'intellectuellement dans ce roman, et par la conclusion qui fait flop.
Autrement dit, si vous ne voulez pas vraiment de moments d'intimité, de psychologie ... c'est pour vous.

Si le sujet de l’architecture des microservices vous intéresse, cet article semble bien parti pour construire un référentiel de toutes les questions autour de ce sujet



Donc il semble bien que le responsable d’une offensive guerrière en Russie puisse être condamné, pour peu que la guerre soit déclarée …​ Ce qui explique l’opération militaire spéciale.


Il y a dans ce long article quelques réflexions particulièrement intelligentes (notamment sur le fait que les moyens d’écrire du code ne sont que des emprunts successifs)






Avant que vous paniquiez, je vais vous expliquer.

Je travaille actuellement dans une organisation qui dispose d'un compte GitHub entreprise, et donc de repositories privés. Dans ce cas, la réutilisation d'action est un peu moins simple et, dans tous les cas, nécessite la copie d'un fichier. Que ce fichier soit simple ou complexe n'est en quelque sorte pas si intéressant.

Comme cette organisation vient de mettre en place un Nexus, je me suis dit - après un moment d'hésitation - qu'il pourrait être intelligent de définir un pom d'entreprise (généralement je ne suis pas fan de l'idée, mais là, il y a tant à faire qu'un peut de standardisation ne fera pas de mal) et de lui associer une action qui serait le standard d'entreprise. Et par conséquent le fichier build.yml serait aussi le standard d'entreprise.

Donc, avant tout, il faut être en mesure de livrer les différents workflows GitHub Actions. C'est un usage assez classique de maven-assembly-plugin. Mais, comme mon pom sera utilisé comme pom parent, je préfère créer cet assembly dans un profil finement configuré.

		<profile>
			<id>Attach GitHub workflow file to project for other projects to use</id>
			<activation>
				<file>
					<exists>.github/workflows</exists>
				</file>
			</activation>
			<build>
				<plugins>
					<plugin>
						<artifactId>maven-assembly-plugin</artifactId>
						<executions>
							<execution>
								<id>Include github scripts as artifacts</id>
								<inherited>false</inherited>
								<phase>package</phase>
								<goals>
									<goal>single</goal>
								</goals>
								<configuration>
									<descriptors>
										<descriptor>src/assembly/github.xml</descriptor>
									</descriptors>
								</configuration>
							</execution>
						</executions>
					</plugin>
				</plugins>
			</build>
		</profile>

Avec évidement un fichier assembly assez simple

<assembly
	xmlns="http://maven.apache.org/plugins/maven-assembly-plugin/assembly/1.1.3"
	xmlns:xsi="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"
	xsi:schemaLocation="http://maven.apache.org/plugins/maven-assembly-plugin/assembly/1.1.3 http://maven.apache.org/xsd/assembly-1.1.3.xsd">
	<id>github</id>
	<formats>
		<format>zip</format>
	</formats>
	<includeBaseDirectory>false</includeBaseDirectory>
	<fileSets>
		<fileSet>
			<directory>.github/workflows</directory>
			<includes>
				<include>*.yml</include>
			</includes>
		</fileSet>
	</fileSets>
</assembly>

Evidement, dans les pom enfants, il faudra récupérer cette dépendance, ce qui sera facile grâce à cet autre profil

		<profile>
			<!-- If no build workflow file exists, copy the one from java-parent project of the version used in this project -->
			<id>Ensure GitHub Actions exists in this project</id>
			<activation>
				<file>
					<missing>.github/workflows/build.yml</missing>
				</file>
			</activation>
			<build>
				<plugins>
					<plugin>
						<groupId>org.apache.maven.plugins</groupId>
						<artifactId>maven-dependency-plugin</artifactId>
						<executions>
							<execution>
								<id>Copy parent build.yml file as our own build.yml</id>
								<phase>generate-resources</phase>
								<goals>
									<goal>unpack</goal>
								</goals>
								<configuration>
									<artifactItems>
										<artifactItem>
											<groupId>my.org</groupId>
											<artifactId>parent</artifactId>
											<version>${version.parent}</version>
											<type>zip</type>
											<classifier>github</classifier>
											<overWrite>false</overWrite>
											<outputDirectory>${project.basedir}</outputDirectory>
										</artifactItem>
									</artifactItems>
								</configuration>
							</execution>
						</executions>
					</plugin>
				</plugins>
			</build>
		</profile>

Et là, il y a une feinte : on veut le fichier de build correspondant à la version du parent (sinon ça risque d'être le bazar). Mais cette version risque de changer avec le temps, non ? On ne peut donc pas mettre une version fixe, mais une variable. Mais comment faire coller cette variable avec la version du parent sans effort ? On ne peut pas utiliser ${project.version}, pas plus que ${project.parentversion} (qui semble à peu près exister, mais pas vraiment). Eh bien, dans ce cas, comme souvent, un peu de groovy va aider :

			<plugin>
				<groupId>org.codehaus.gmaven</groupId>
				<artifactId>groovy-maven-plugin</artifactId>
				<executions>
					<execution>
						<id>Obtain parent version</id>
						<!-- I seriously tried to put that code fragment in an external script, but it unfortunatly never worked -->
						<phase>validate</phase>
						<goals>
							<goal>execute</goal>
						</goals>
						<configuration>
							<source><![CDATA[
def findRecursively(project) {
	if(project.artifactId.equals("parent") && project.groupId.equals("my.org")) {
		return project.version
	} else {
		return findRecursively(project.parent)
	}
}
project.properties["version.parent"] = findRecursively(project)
log.info "Setting java-parent version to "+project.properties["version.parent"]
							]]></source>
						</configuration>
					</execution>
				</executions>
			</plugin>

Et avec ces trois éléments (grâce aussi à la flexibilité approximative des profils), il est possible de synchroniser "facilement" les workflows GitHub en utilisant Maven (et Nexus, évidement).


Un serveur web alternatif (quoi ?) écrit en C (QUOI ?) et qui semble bien pensé (coroutines, données non copiées, …​)


Je ne connaissais pas le trait "Default". C’est assez chouette (mais ça ne marche pas quand je mets dans ma struct un enum "borrowed")


J’aime beaucoup cette syntaxe pour tester du HTTP/Whatever (qui est déja utilisée dans une extension VSCode). Et cet outil en ligne de commande me paraît très cool pour intégrer ça dans de la CI, par exemple …​



Vous voulez comprendre que le monde n’est pas tel que vous le croyez (mais bien mieux) ? Ce quiz est pour vous, et il est vraiment chouette !


Si vous voulez créer des liens mailto un peu sympa, cet outil va vous encoder tout le texte proprement (et potentiellement capturer tout ce que vous avez écrit dedans)


Si vous voulez avoir un CV avec de jolies icônes raisonnablement à jour (parce que certains produits changent de logo). Ce site est une chouette solution (je me dis que ce serait cool aussi dans Structurizr).





Une série de conseils tout-à-fait pertinents pour les gens qui développent des serveurs REST


Si vous pensez que votre date de naissance est une donnée privée (parce que c’est votre mot de passe), ce site ne risque pas de vous plaire …​


Je n’ai pas connaissance d’un équivalent en Java. Mais dans tous les cas, c’est un exemple frappent de l’intérêt x de sortir du string-typed programming si courant


A eu près toute autre action écologique serait plus efficace. Donc profite plutôt de ce 19 mars pour, par exemple, nettoyer vos radiateurs (ça amélioré l’efficacité de votre chauffage central)


Si vous voulez faire du C4 à travers un dsl, mais que vous n’aimez pas as celui de structurizr, cet article vous donnera une alternative franchement intéressante. Et la possibilité de définir des contraintes est un bonus vraiment utile.


Un éditeur de texte (encore un ?!) en Rust, supportant des plugins compilés en WebAssembly. Ca peut être très chouette …​



Xavier Mouto[N-Dubosc sur Twitter : "@GrablyR à faire tourner (donc à…​ RT) https://t.co/Mb5we4sNff" / Twitter]

Les arguments défendus dans cette image sont parfaitement justes.



Ce que vous avez sous les yeux, ce sont les lobbyistes de France. Quand vous lisez cette liste, vous comprenez vite pourquoi le bouleversement climatique n’est pas une priorité …​ (et pourquoi le gouvernement se "medefise")


Un système de fichier permettant d’accéder à GitHub depuis n’importe quel OS, sans git ni la ligne de commande github !


Je suis partagé entre la stupéfaction et une légère forme de déprime …​ Même en n’étant pas si vieux, le fait de savoir que je suis plus vieux que 73% de la population mondiale est proprement stupéfiant.



J’ai eu jadis un personnage de halfelin duelliste (au pistolet, s’il vous plaît) monté sur un poney qui me semble beaucoup moins ridicule qu’à l’époque …​



Review

Je ne comprend pas pourquoi ce livre a mis 12 ans pour arriver en poche ...
L'ensemble du roman est raconté à la première personne par Fra Erasmas, jeune membre d'une espèce de monastère sur la planète Arbre qui, en suivant les études astronomiques de son maître Orolo, va se retrouver embarqué d'abord dans une conspiration pour comprendre un secret caché dans les étoiles (tout en découvrant l'amour) avant de partir pour un voyage à travers le monde.
Je crois en fait n'avoir jamais lu une oeuvre d'une telle ampleur. Et ça commence très rapidement par la découverte de cet étrange monastère. Dans celui-ci, les fras et soors vivent isolés du monde extérieur dans le but unique de faire persister, voire d'améliorer, les connaissances scientifiques. Ils stockent donc les manuscrits de l'ensemble des auteurs scientifiques de l'histoire et les étudient pour atteindre un niveau de chercheur dans leur domaine de prédilection (l'astronomie dans le cas d'Erasmas). Ce simple monastère est significatif de l'ambition de l'auteur, puisque Stephenson, dans une démarche que je ne peux considérer que comme scientiste choisit de faire de la religion et de la science deux modes d'explication du monde. Et l'isolement des fras et soors montre bien la tentation de la science de s'isoler des affres du monde. C'est évidement une vision inversée de celle de notre monde, dans lequel les monastères sont religieux ... Mais d'un autre côté, les astronomes qui vont s'isoler au sommet du Mauna Kea ou des sommets chiliens vivent en quelque sorte comme des moines. Et le fait que les moines disposent d'une histoire de la science sur 7.000 ans leur permet aussi de tester toutes les hypothèses scientifiques ayant été faites dans l'histoire, ce qui donne lieu à quelques discussions authentiquement alter-scientifiques tout à fait fascinantes. Et je pense que c'est là le coeur de ce que doit être une oeuvre de science-fiction : utiliser la science, et dans ce cas même l'épistémologie, comme un matériel constitutif d'un récit de qualité.
Et récit il y a, puisqu'à la première partie se déroulant dans le huis-clos assez protégé du monastère s'oppose une deuxième partie dans laquelle l'auteur se livre cette fois à un authentique roman de voyage et de découverte. En effet, notre fraa n'étant jamais sorti du monastère son voyage dans le monde est forcément une découverte de chaque endroit, de chaque coutume, de chaque culture. C'est un procédé littéraire qui fait écho à la plus classique des littératures, et qui est à mon sens un hommage volontaire à cette littérature, qui permet également à l'auteur de nous montrer son talent de créateur de monde : aussi bien lorsque Erasmas découvre certaines sectes exotiques que lorsqu'il emploie des moyens de transport reconnaissables (ou pas) toujours présentés sous un angle exotique.
Ces moyens de transport sont aussi à mon sens un moyen de nous poser la question de la planète des singes : cette planète nommée Arbre, à l'histoire si longue, n'est-elle pas une Terre d'un lointain futur ? Le doute demeure tout le long du roman, et c'est un doute très salutaire pour moi.
Vivement la deuxième partie !

Oh, encore un livre sur Rust, mais cette fois-ci, il semble être dans la lignée d’effective java


J'ai lu il y a quelques temps déja ce comics sur Tachiyomi, je ne peux donc pas facilement en parler sur Goodreads (puisqu'il faudrait que j'arrive à me souvenir des numéros, ce qui n'est vraiment pas possible).

Donc Sex Criminals est un comics mettant en scène différents personnages disposant d'un superpouvoir commun (ce qui est une différence significative avec la tradition des comics) : à peu près au moment de l'orgasme, il peuvent ralentir le temps jusqu'à l'arrêt. Et cet arrêt du temps dure plus ou moins longtemps (pour ceux qui l'ont arrêté). On va en particulier s'attacher aux pas de Suzie, bibliothécaire dans une bibliothèque en cours de destruction, et de Jon, acteur manquant de succès et souffrant par ailleurs de troubles psychologiques divers. Soumis à une assez forte pression sociale, ils vont se lancer dans les cambriolages de banque lorsque le temps est arrêté et se mettre à dos la milice du sexe.

A partir de là, le récit partira dans des directions toujours inattendues, et toujours surprenantes.

C'est vraiment une histoire chouette, parce qu'on y parle évidement de ce qu'est la vie sexuelle, et de ce que peut être son apprentissage. On y parle aussi beaucoup du lien entre les gens, sous toutes ses formes, et de tout un tas d'autres choses ...

En revanche, au niveau du dessin, on est entre le comics et la ligne claire : ça donne un dessin avec des grands aplats, et pas toujours beaucoup de détail. Mais comme l'histoire est vraiment intéressante, ça n'est pas vraiment gênant.


La théorie des queues au service du TDD. L’explication est satisfaisante intellectuellement (même si je dois avouer ne pas avoir lu l’article en entier)




Un bel article sur l’intérêt de dot et des diagrammes basés sur du code




Je suis assez stupéfait de découvrir ce site, qui donne par numéro de vol toutes les informations disponibles, y compris la route réelle de l’avion (ici mon vol retour des Canaries)


Une opinion intéressante (oui, sans doute parce que je suis d’accord avec son propos) sur les SPA



[archiloque.net Pair-programming : ce n’est pas comme de coder seul mais à deux]

Un article intéressant sur le poids psychologique de la programmation en paire




Si un jour je crée mon propre langage de programmation, ce sera un très bon point de départ


Mais comment trouver le bon proxy pour the pirate bay (afin de regarder ce film recommandé par la salle 101) ? Grâce à cette liste de proxies !



J’avais déja vu plusieurs fois cet éditeur, et je ne m’y étais pas intéressé. MAIS j’ai enfin lu une ligne en bas de page " It is extensible by Python add-ons"





Une proposition intéressante, qui n’est pas complètement inattendue, mais qui ne manque pas non plus de radicalité.


Ce produit, qui est une espèce de mélange entre feuille de calcul et base de données (une alternative à airtable, par exemple) est par ailleurs disponible en open-source, et se base sur une base SQLite, donc facilement partageable …​



Quand tu arrives dans une nouvelle équipe, et qu’on te demande de connaître tous les repositories GitHub, ce genre de script est *bien\* pratique (bon, par contre, c’est théoriquement du Python 2)




C’est marrant, le site a l’air super sérieux. MAIS, le compilateur n’est pas publié. Le langage est le projet d’un homme. La licence est inconnue. Ce sont de très mauvais signaux pour moi.





Review

Joe Abercrombie est un auteur qui sait me mettre mal à l'aise, mais d'une manière chaque fois différente.
Dans ce roman, le cercle du monde (déja vu dans sa première trilogie La première loi) commence à connaître les prémices de la révolution industrielle. Ca n'empêche pas bien sûr qu'aient lieu des guerres contre des ennemis moins industrieux. Et là-dedans, on retrouve comme d'habitude une galerie de personnages parfois héroïques, parfois parfaitement ignobles, mais toujours incroyablement vivants. Et cette fois-ci, on trouve dans les rôles principaux un prince héritier qui se sent indigne de sa place, la fille de l'insigne lecteur des premiers tomes qui est une féroce investisseuse, un guerrier combattant les nordiques, et une sorcière nordique subissant des visions. Ils vont bien sûr se croiser, voire même se rapprocher ... fortement.
Quand je lis des romans de cet auteur, je suis à chaque fois épaté par son talent, mais aussi gêné par sa capacité à passer son temps dans les bas-fonds de l'humanité. En effet, la plupart de ses personnages n'exposent que peu de qualités humaines : pas de héros courageux, généralement (bon, cette fois-ci, il y en a un, qui est toutefois un peu geignard), pas de volonté de changer le monde, juste la volonté, terrifiante, animale, de survivre. Et je crois que c'est la plus grande caractéristique de cet auteur : parler de l'animal humain dans tout ce qu'il a d'ignoble. La palme de l'ignoble revenant cette fois-ci à la description factuelle, qui pourrait même être encore réaliste de nos jours, d'une usine. Quelque part, la suite du roman, qui contient tout de même une révolte, et une bataille, n'arrive pas pour moi à égaler l'horreur que j'ai ressenti dans ce passage.
Heureusement, l'auteur arrive à faire passer la pilule par ses personnages, mais aussi par une écriture sacrément vive. On passe donc rapidement d'une situation horrible à une situation ignoble, mais tolérable. Par ailleurs, comme dans chacun de ses romans, ou presque, il y a une espèce de trajectoire croisée entre les différents personnages. C'est intéressant, voire même parfois assez drôle.
Oui, parce qu'évidement, l'auteur a le sens de la formule (en particulier avec le personnage particulièrement gerbant de Quatre-Feuilles, tourne casaque de compétition, lâche de qualité olympique, philosophe à ses heures) et arrive grâce à ça à faire passer quelques piques assez savoureuses.
Bref, une lecture tout-à-fait recommandable, si vous n'avez pas peur de vous enfoncer dans la fange de l'immoralité.

Je m’aperçois que je n’avais pas bookmarké cette carte du trafic maritime mondial en temps réel, qui est très pratique pour, par exemple, suivre les errements du Felicity Ace


J'ai depuis mon arrivée dans le monde magique des réseaux sociaux (et en fait bien avant), un avatar bien geek que j'utilise ... partout.

Avant qu'on s'intéresse aux droits d'auteurs, j'ai téléchargé cette image sur tux.crystalxp.net

La motivation à l'époque (il y a près de 20 ans) était d'avoir un avatar facilement reconnaissable, sans pour autant que ce soit une photo.

Et puis le monde a évolué ...

J'ai d'abord eu pendant longtemps une seule photo de moi visible sur le site de Ride on Lille (et encore, je ne m'y reconnais pas vraiment).

Et puis, suite à des changements d'emploi divers et variés, je me suis retrouvé à donner des conférences (à Snowcamp en particulier). Et certaines de ces conférences ont même été filmées et diffusées sur Youtube. Et comment puis-je à la fois vouloir être reconnu et rester incognito sur un blog qui parle essentiellement de ma vie ? Le point critique a été atteint justement au dernier Snowcamp où Nicolas F. m'a fait remarquer que franchement, ne pas avoir un avatar Twitter qui me ressemble, c'était pas terrible en termes de marketing personnel.

Et comme le même Nicolas le dirait, je sais reconnaître quand j'ai tord. Et maintenant, j'ai tord de garder ce vieil avatar de geek sous-marin. J'en ai donc tiré toutes les conséquences et remplacé ce mignon pingouin par un photo raisonnablement récente, prise dans un contexte raisonnablement professionnel (une conférence sur Rust chez un client). Et en fait, je ne sais pas comment je me sens vis-à-vis de ce que j'ai du mal à voir autrement que comme un affichage ...



Il y a longtemps, j'ai pu lire les premiers tomes de ce manga de fantasy horrifique.

J'en avais un peu oublié la lecture quand des circonstances diverses m'en ont rendu l'accès assez facile. En fait, je cherchais depuis longtemps à lire quelques tomes de B-P-R-D (accessible depuis readcomicsonline) mais je n'étais pas vraiment fan de la lecture sur l'écran de mon ordinateur. Et un beau jour, je suis tombé, à moitié par hasard, sur tachiyomi, une application dédiée à la lecture de bds, romans graphiques, comics, mangas accessible sur F-Droid. Et en y cherchant des sources, je suis tombé sur Berserk (mais pas sur l'habitant de l'infini, ni sur Gunnm Last Order).

J'ai donc repris ma lecture de zéro ...

Et quand on prend, en deux mois, les 10 000 pages de cette oeuvre, on en ressort avec une certaine forme de vertige que retranscrit très bien cette vidéo de l'excellent Alt236

https://www.youtube.com/watch?v=4HGVV25bH04

L'avertissement dans la vidéo en vaut la peine : Berserk n'est vraiment pas une oeuvre à mettre entre toutes les mains : c'est extrêmement violent, et certains éléments sont parfaitement malaisants.

En plus, la mort soudaine de l'auteur laisse l'histoire en plan. Et si c'est bien dommage de ne pas conclure une oeuvre aussi puissant, quelque part, me laisser la possibilité d'imaginer une conclusion est quand même sacrément satisfaisante (d'ailleurs, le dernier chapitre révèle un détail d'intrigue que j'aurais préféré ne pas voir éclairé).


La restauration pour le web d’une encyclopédie du XIXème siècle. Ca a l’air d’une belle réserve d’illustrations de qualité


Une variante de générateur basé sur des réseaux de neurones pour imaginer des idées de projet. Ca peut être utile, par exemple en entretien …​