La saison des conquêtes
- Index
- Le grand livre des gnomes
- Les tribulations d'un mage en Aurient
- La saison des conquêtes
- Les noces pourpres
- La confrérie des loups
- Mécomptes de fées
- Nobliaux et sorcières
- La voie du cygne
- Harry Potter
- L'invincible forteresse
- Conan l'invincible
- Intrigues à Port-Réal
- Le fils des ténèbres
- La saga d'Uasti
- L'apprenti assassin
- Le vin des dieux
- Le huitième sortilège
- La tapisserie de Fionavar
- Abyme
- Thomas le rimeur
- La compagnie noire
- L'épée de feu
- Les masques de Wieldstadt
- Le guet des orfèvres
- La voie du sabre
- Les ombres de Wieldstadt
- Tigane
- Conan l'aventurier
- Accros du Roc
- Les petits dieux
- La forêt des Mythagos
- Mémoire vagabonde
- Sourcellerie
- La huitième couleur
La meilleure et la pire conqupête de l'homme, ça doit sans doute être l'écriture. Grâce à elle, certains auteurs pondent des romans que vraiment, on se sent difficilement le courage de commenter, et qu'on ne peut que recommander d'éviter.

Mon avis
Je ne voudrais pas paraître méchant, ni même grossier, à défaut de faire un résumé digne de ce nom de cette "chose", mais on n'est pas très loin au-dessus de l'assassin royal, quand même. Les défauts déja présents dans le premier tome se confirment avec une étonnante régularité. On y retrouve en effet un héros aussi transparent pour le lecteur que du papier à cigarette, des aventures digne de la cour de récré, enfin bref, rien de palpitant.
Ce qui est dommage c'est que j'ai bien senti que l'auteur maîtrisait bien sa plume, mais apparement pas du tout son scénario. Lorsqu'en plus le filigranne des légendes nordiques (des dieux et des dragons qui se battent pour le contrôle d'un monde médian qu'un bâtard des dieux va complètement chambouler) devient aussi épais qu'un câble du Golden Gate, la lecture devient un vrai supplice de Tantale : on a envie de dire à l'auteur de trouver un autre sujet, par pitié, mais il écrit bien, et les yeux du lecteur sont juste assez soulagés pour lui permettre de passer à la page suivante, où l'enfer recommence.
J'avais déja dit tout le mal que j'en pensais, et je persiste largement avec ce tome indigent, qui mérite quand même, dans ma poubelle virtuelle, d'être au-dessus de l'assassin royal (étalon de fond).